Pourtant, dans l’horreur qu’a constituée ce massacre, où trente-huit mineurs dont deux nourrissons ont été tués, il n’y a jamais eu quarante bébés décapités. Ni à Kfar Aza, ni dans aucun autre kibboutz, a confirmé au Monde le bureau de presse du gouvernement israélien.
Le 10 octobre, les comptes officiels israéliens se font le relais d’une allégation sordide, mais infondée. Six mois plus tard, celle-ci continue de circuler, alimentant les accusations de désinformation israélienne.