ÉDITORIAL. A travers des témoignages comme celui de Judith Godrèche, des piliers du cinéma hexagonal sont ébranlés. La célébration des créateurs et de leurs œuvres sans vouloir voir l’abject dont ces dernières étaient l’alibi n’a que trop duré. Si l’examen de conscience peut, à juste titre, être jugé tardif, il n’en est que plus nécessaire et salutaire.